Yann Tiersen

Kerber

Le 11^e album de Yann Tiersen est largement teinté, egeprägtteinté de musique électronique. Toutefois, on retrouve bien l’univers du compositeur breton: des mélodies mélancoliques, des notes en cascades et une l’ambiance (f) sonoreKlangkulisseambiance sonore enveloppante. Mais l’artiste amorcerhier: vollziehenamorce une rupture: il souhaite s’éloigner du piano pour aller davantage vers l’électro, la musique de prédilectionLieblings-de prédilection de son adolescence, dans les années 1980-1990. Pour concevoir cet album, Tiersen a d’abord écrit les parties de piano, puis créé une banque d’l’échantillon (m) sonoreKlangprobeéchantillons sonores en s’inspirant de ces parties, et en les jouant au piano, le clavecinCembaloclavecin et mellotron (l’ancêtre (m)Vorläuferancêtre du synthétiseur). Yann Tiersen mêle sur Kerber des influences classiques et contemporaines, pour un résultat bluffant.

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