La galette au sarrasin

    Crêpes
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    Jean-Paul: La crêpe est la spécialité culinaire bretonne par excellence. Chaque village a sa crêperie, chaque fête populaire son stand de crêpes et on en trouve sur tous les marchés. Elles peuvent être simples (la fameuse crêpe au sucre, classique, jambon, fromage), ou plus élaborées (oignons confits, champignons à la crème, saucisse…). Avec des prix qui etw überschreitendépassent rarement 10 euros, la crêpe est un petit plaisir gastronomique erschwinglichà la portée de presque toutes les bourses et se prend généralement avec une Inhalt einer Trinkschalebolée de cidre. Les crêpes bretonnes ne se font pas dans une Pfannepoêle, mais sur un « billig ». Qu’est-ce qu’un « billig » ? C’est une plaque ronde en Gusseisenfonte que l’on chauffe et sur laquelle on dépose la Teigpâte à crêpe pour qu’elle cuise. En français, on dit une crêpière, mais les Bretons tiennent à l’appeler comme ça… Bien sûr, on peut utiliser certaines poêles spéciales crêpes. Elles se reconnaissent à leur bord très hier: flachmince qui permet de bien verteilenétaler la pâte avec un Teigverteilerrâteau à crêpes, le « rozell ». Abordons enfin une question entscheidendcruciale pour mettre un terme à cette présentation. Il existe deux types de « crêpes » en Bretagne : la crêpe proprement dite, réalisée avec de la farine de Weizenfroment et dédiée au dessert et la crêpe de Buchweizensarrasin qui est réservée aux préparations hier: herzhaftsalées et que l’on appelle galette. On dira donc une crêpe au sucre et une galette au fromage. Nous allons tenter de faire des galettes. 

    Jean-Paul : Bonjour Juliette ! 

    Juliette : Bonjour Jean-Paul ! Alors, qu’est-ce qu’on fait comme recette ?

    Jean-Paul : On va faire des galettes ! Tu aimes ça ?

    Juliette : so was vonDe ouf ! 

    Jean-Paul : Alors on y va… La recette, c’est pour une douzaine de galettes… On va commencer par verser 330 grammes de farine de sarrasin dans un saladier avec un peu sel. On fait un hier: Muldepuits au milieu de la farine et on ajoute 75 centilitres d’eau dans ce puits en remuant énergiquement avec une Kochlöffelcuillère en bois.

    Juliette : Je peux le faire ?

    Jean-Paul : Bien sûr ! Il faut juste que la pâte soit dickflüssigfluide et épaisse à la fin de cette opération… Bon ça me semble pas mal… Allez, on casse un œuf dedans maintenant. Et on remélange…

    Juliette : C’est bon là ?

    Jean-Paul : C’est parfait. On recouvre le saladier d’un Küchentuchtorchon et ça part au réfrigérateur pour reposer environ six heures…

    Jean-Paul : Ça y est, la pâte est prête on peut l’utiliser… Si on a un billig, on le chauffe à 250°. Tu en beurres un peu la surface, tu prends une Kellelouche de pâte et tu la verses dessus. Pour répartir la pâte, on se sert d’un petit râteau en bois, le « rozell ». 

    Juliette : Ouh lala ! C’est pas facile !

    Jean-Paul : Il faut juste avoir le bon geste du Handgelenkpoignet… Mais OK, regarde, la Schichtcouche de pâte est bien répartie…

    Juliette : Ouf…

    Jean-Paul : Quand les bords se soulèvent, il est temps de retourner la galette avec une Pfannenwenderspatule et de la cuire de l’autre côté… 

    Juliette : Elle est bien goldbraun gebackendorée

    Jean-Paul : Elle est magnifique ! Allez, à toi l’honneur. Tu veux la prendre avec quoi ?

    Juliette : Du jambon et du fromage…

    Jean-Paul : Pour la présentation, tu places tes ingrédients au centre de la galette et tu etw faltenreplies ses bords sodassde manière à faire un carré avec ton rond…

    Juliette : Haha !

    Jean-Paul : Il ne te reste plus qu’à la déguster… Attention de ne pas te etw verbrennenbrûler la Zungelangue, c’est très chaud…

    Juliette : T’inquiète ! (fam)Keine Sorge!T’inquiète !

    Jean-Paul : Bon appétit Juliette !

    Juliette : Mmm… Merci Jean-Paul !