« Quand on se baladerherumspazierense balade à Paris, les monuments, les statues, les l’œuvre (f) d’artKunstwerkœuvres d’art sont en immense majorité faits par des hommes ou représentent des hommes. Les femmes qui marquer qchier: etw prägenont marqué la ville, on ne les voit nulle part. Elles invisibiliser qnjdn unsichtbar machenont été invisibilisées ». Charlotte Soulary sait de quoi elle parle. Cette écoféministe militante a écrit en 2018 le premier guide pour un voyage féministe à Paris, La Guide de Paris. Une façon de remettre les femmes au cœur dehier: in den Fokusau cœur de l’histoire et du le patrimoineErbepatrimoine de la capitale. « Les deux femmes qui ont le plus marqué l’histoire de Paris sont Olympe de Gouges, l’autrice de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne en 1791, et Louise Michel, qui combattrekämpfena combattu pendant la Commune en 1871.
La première a juste une la plaquehier: Gedenktafelplaque dans une rue, un carrefour à son nom et un buste à l’Assemblée nationale… où le public ne peut pas aller. La seconde a un buste à Levallois-Perret, en banlieue ». Devant la façade de l’l’Hôtel de villeRathausHôtel de ville, Charlotte nous fait remarquer qu’on n’y voit que des statues d’hommes. Les seuls corps féminins sont deux allégories, des abstractions : « Les quelques femmes célèbres (la peintre Vigée Lebrun, George Sand, Madame de Staël, Madame de Sévigné) ont été placées sur la façade latérale. On ne les voit ni depuis la rue, ni depuis le square fermé. »
Les noms de rue sont une autre source d’l’agacement (m)Empörungagacement. « En 2018, moins de 5 % des rues portaient des noms de femmes… La municipalité a fait un effort important pour rétablir qcetw wiederherstellenrétablir l’l’équilibre (m)Gleichgewichtéquilibre, et ce chiffre a presque doublé depuis, mais on est loin de la parité », observe Charlotte, qui plaide pour que la place de la Concorde soit rebaptisée « place de la Concorde-Olympe de Gouges ». Son conseil ? Se balader au jardin du Luxembourg où, une fois n’est pas coutumehier: ausnahmsweiseune fois n’est pas coutume, la statuaire montre beaucoup de femmes. « J’adore la statue de George Sand, même si le sculpteur ne pas pouvoir s’empêcher de faire qcnicht umhinkönnen, etw zu tunn’a pas pu s’empêcher de la représenter en robe, en train de lire… alors qu’elle écrivait et qu’elle est connue pour s’habiller en pantalon ! »
La militante recommande aussi de se promener au cimetière du Père-Lachaise où reposent Colette, Maria Callas, Édith Piaf ou Gertrude Stein et son amante Alice Toklas, mais aussi Hubertine Auclert, qui militer pour qcsich für etw einsetzena milité pour le le droit de voteWahlrechtdroit de vote des femmes. « Mais il faut aller de l’avant et donner plus de visibilité aux femmes d’aujourd’hui. Notre combat est désormaisnunmehrdésormais un travail de pédagogie. L’arrivée des dix statues de femmes doré,evergoldetdorées, dévoiler qcetw enthüllendévoilées pendant la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris, dans une rue du 18e arrondissement est une bonne nouvelle pour le le matrimoineWortschöpfung: weibliches Erbematrimoine. »
Dans les pas des femmes de Paris, de Coco Chanel à Nina Métayer. À retrouver dans écoute 10/25.
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