Pauline : Nathalie parle des difficultés en maths de sa fille avec Sophie, une amie ingénieure.
Sophie : Salut Nathalie ! Je suis bien contente de te voir !
Nathalie : Bonjour Sophie. Moi aussi, ça me fait plaisir.
Sophie : Comment vont tes enfants ? Anna se plaîrehier: sich wohlfühlense plaît en CM1 ?
Nathalie : Oui, elle adore sa le,la maître,ssehier: Grundschullehrer/-inmaîtresse et, dans l’ensemble, ça se passe plutôt bien. Mais elle galère en maths.
Sophie : Ah bon ? Pourtant elle avait l’air plutôt douée au début de l’école primaire.
Nathalie : Oui c’est ce que je pensais, mais en fait, je crois que c’est plutôt une littéraire, comme moi. Les chiens ne font pas des chats, comme on dit.
Sophie : Oui, enfin quand même… tout n’être joué,egelaufen seinest pas encore être joué,egelaufen seinjoué à son âge.
Nathalie : Sans doute, mais elle n’a pas tellement d’affinités avec cette la matièrehier: Schulfachmatière. Elle n’est pas à l’aise avec les le chiffreZahlchiffres. Ce qu’on dit sur les filles et les chiffres est peut-être vrai.
Sophie : Alors là, je ne suis pas d’accord. Il n’y a aucune fatalité pour les filles. Il faut peut-être lui expliquer différemment.
Nathalie : Oui, mais tu vois, je n’ai jamais eu de facilités non plus pour les maths. Et comme c’est moi qui fais les les devoirs (m/pl)hier: Hausaufgabendevoirs avec elle, du coup, je ne lui donne peut-être pas envie.
Sophie : Alors, il faut changer votre façon de travailler ensemble. Est-ce que Marc aime les maths, lui ? Il pourrait l’aider.
Nathalie : Oh, il n’aurait pas la patience. Tant pis si elle n’est pas matheux,segut in Mathematheuse… ce n’est pas si grave.
Sophie : Mais Nathalie, c’est important les maths ! Il ne faut pas déjà baisser les brasaufgebenbaisser les bras. Tout le monde peut y arriver. Et vraiment, il y en a marre (de)…es reicht jetzt (mit) ...il y en a marre de ce cliché des filles nulles en maths.
Nathalie : Honnêtement, ce n’est pas un cliché. C’est une discipline inventer qcetw erfindeninventée par des hommes et qui parle peut-être plus au le cerveauGehirncerveau masculin.
Sophie : Je crois plutôt que c’est une discipline où les filles s’auto-censurent et reproduisent le le manqueMangelmanque de la confianceVertrauenconfiance en elles de leur mère ou de leur maîtresse…
Nathalie : Oui… c’est bien possible.