Des collines rondes et vertes, des plages battues par les vagues, une identité unique préservée par un peuple fier… Il y aurait beaucoup de raisons d’aimer le Pays basque. Nous en avons retenu cinq, qui sont autant d’invitations à découvrir cette région idéale pour les amateurs de bonne chère, de surf, de randonnée et de patrimoine. Nous vous en présentons une :
Biarritz, impériale !
Un casino, des villas néo-basques ou Art déco, des manoirs à la tourelleTürmchentourelles, des magasins chics, de grands hôtels cossus... Il faut de l’imagination pour se figurer qcsich etw vorstellense figurer que Biarritz n’était qu’un simple port de pêche autrefoisfrüherautrefois. Tout change au XIXe siècle lorsque Eugénie et Napoléon III en font leur résidence d’été. Bientôt la haute aristocratie et les têtes couronnées de l’Europe entière y viennent en la villégiatureUrlaubvillégiature. L’Hôtel du Palais occupe l’ancienne villa impériale, partie en fumée en 1903. C’est à ce jour le seul palace de la côte atlantique française. Le spa rappelle les grandes heures de la la station balnéaireBadeortstation balnéaire, dont on vanter qcetw anpreisenvantait les le bienfaitwohltuende Wirkungbienfaits des cures marines. Par miracle, la chapelle impériale d’Eugénie a été conservée. L’impératrice prierbetenpriait dans ce fastueux,seprunkvollfastueux décor néo-mauresque où se mêlent symboles impériaux (l’aigle (m)Adlerl’aigle, l’abeille (f)Bienel’abeille) et signes plus personnels (la la grenadeGranatapfelgrenade rappelant Grenade, où elle naquit).
Biarritz, « la reine des plages et la plage des rois », connaîtra aussi un second âge d’or durant les Années folles avec l’installation de grands le,la couturier,ièreModeschöpfercouturiers. C’est d’ici que Coco Chanel imposera son style révolutionnaire. Patou, Courrèges, Balenciaga ou encore Paco Rabanne marquer qc de son empreinte (f)etw seinen Stempel aufdrückenmarqueront aussi la ville marquer qc de son empreinte (f)etw seinen Stempel aufdrückende leur empreinte. En flânant le long du promenoir de la Grande Plage, en remontant l’avenue de l’Impératrice, c’est toute cette histoire qui se lit dans la pierre. Le temps n’est plus aux robes en la crinolineReifrockcrinoline, mais Biarritz a su garder son élégance d’il y a 100 ans.
Passéiste ? Ce serait sans compter les surfeurs ! Sur la Grande Plage comme sur les autres plages biarrotes, on les voit évoluer dans l’eau du matin au soir. Croiser un surfeur à un coin de rue, sa planche sous le bras, n’a rien d’anormal ici ! C’est à Biarritz que le surf est arrivé pour la première fois en Europe. En 1956, lors du tournage du film Le soleil se lève aussiFilmtitel: „Zwischen Madrid und Paris“Le soleil se lève aussi (avec Ava Gardner), le scénariste Peter Viertel, amateur de surf, se fait envoyer une planche depuis les États-Unis. Les Biarrots découvrent ce sport de glisse… et l’adoptent aussitôt. Par le caprice d’un Californien, la côte des Basques, au sud de Biarritz, devient ainsi le le berceauWiegeberceau du surf ! La ville compte aujourd’hui une vingtaine d’écoles de surf. Celles et ceux qui ne veulent pas se jeter à l’eau peuvent longer le front de mer jusqu’au rocher de la Vierge (au sud) ou jusqu’au phare (au nord), d’où l’on jouit d’une vue splendide sur la Grande Plage et la côte basque jusqu’à l’Espagne.
Cinq raisons de tomber amoureux du Pays basque ? Biarritz, bien sûr, mais aussi la cuisine basque, le sentier du littoral de Bidard à Guétary, Sare et le petit train de la Rhune, le piment d'Espelette...
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